Décodage des maladies
Références Scientifiques
Le décryptage s’apparente à la cryptanalyse, la science qui consiste à déchiffrer les messages secrets. L’étymologie de « crypter » est issue du grec ancien « kruptos » qui signifie : « caché ». Le décryptage de la maladie consiste donc à mettre à jour les messages cachés transmis par le cerveau au corps lors d’un stress, d’une contrariété ou lors d’un choc émotionnel.
La connaissance claire du sens de sa maladie s’est révélée, à maintes reprises, on ne peut plus bénéfique. C’est la raison pour laquelle plusieurs médecins dermatologues, conscients de l’influence que peut avoir l’esprit sur le corps, me sollicitent régulièrement pour faire partir, par exemple, des verrues récalcitrantes.
Pour avoir un aperçu du fonctionnement de la méthode SAUVIE, revenons un instant sur la relation corps-esprit sur laquelle Descartes écrivait : « Certaines choses que nous expérimentons en nous-mêmes ne doivent pas être attribuées à l’âme seule, ni au corps seul, mais à l’étroite union qui est entre eux » (« Principes de philosophie »). Une union si étroite qu’elle a permis au professeur KAYAT d’écrire : « Après quarante ans de combat au chevet de milliers de malades, je l’affirme, les émotions peuvent bel et bien contribuer au développement d’une maladie maligne. » dans « L’enquête vérité » (2018)
Mais il n’est pas le seul : outre atlantique, « Les recherches de Robert SAPOLSKY professeur à l’université de STANFORD montrent par quel mécanisme le stress module la fonction et la structure cérébrale et exerce en conséquence des effets prononcés sur le corps. Quand il prend la forme d’un stress chronique psychosocial, il est pathogène. »
Il en est de même pour Margaret KEMENY « Elle est professeur de psychiatrie et directrice du programme santé et psychologie à l’université de Californie à San FRANCISCO. Ses travaux portent principalement sur l’identification des liens entre l’environnement social, les facteurs psychologiques et la maladie. Elle a largement contribué à notre compréhension des moyens par lesquels l’esprit – nos pensées et sentiments – fabrique des réponses biologiques au stress et aux traumatismes. »
Autant de médecins et de scientifiques que vous pourrez retrouver dans le livre intitulé « L’esprit est son propre médecin » ! (2014) De Jon KABAT-ZIN et Richard DAVIDSON. Il réunit les plus grands chercheurs mondiaux en médecine, en psychologie et en neurosciences au sujet des fascinants pouvoirs de guérison de l’esprit humain.
Par ailleurs, pour fêter ses 100 années d’existence, « Science et vie » confirmait déjà en 2013, qu’effectivement, « l’esprit possède le pouvoir de soigner le corps. Les neuroscientifiques en ont désormais la preuve sur des maladies aussi graves que la dépression, certaines déficiences immunitaires ou la maladie de Parkinson. » Et conclue : « Une chose est sûre : à condition de l’inciter à jouer ce rôle, le cerveau est un excellent médecin. Les techniques d’imagerie cérébrale et d’analyses biochimiques permettent de voir la force de l’esprit se matérialiser. Et déjà, des hôpitaux sautent le pas ! » Dans « Guérir par la pensée.
La preuve en 15 expériences ».
Si les scientifiques sont désormais en mesure de voir «la force de l’esprit se matérialiser, il est essentiel de comprendre maintenant à quelle condition cette force peut s’appliquer et sur quel critère scientifique elle peut s’observer.
Wolf SINGER, docteur en médecine et fondateur et directeur de l’Institut de recherches avancées de l’activité cérébrale à Francfort en Allemagne nous l’explique : « Depuis 10 ans, la science moderne a beaucoup appris sur la manière dont le stress affecte le cerveau et le corps, et dont le cerveau peut se réorganiser grâce à des pratiques qui renforcent l’attention et la claire conscience. » Et de manière plus technique, il nous précise que : « Les oscillations cérébrales bêta et gamma sont des rythmes rapides associés à l’attention, à la perception et à l’apprentissage. Les processus attentionnels assurent les fonctions de liaison (entre l’esprit et le corps), exacerbent la claire conscience et conduisent à l’unification des processus décentralisés
Le rythme électrique du cerveau généré par une écoute attentive, oscille autour d’une fréquence de quarante hertz au sein du cortex cérébral. C’est à cette fréquence que l’esprit et le corps entrent en résonance. Ils se synchronisent et communiquent. Des décharges neuronales sont alors observées.
S’il est donc admis scientifiquement que l’attention, par la haute fréquence oscillatoire qu’elle induit, est la « passerelle » qui relie l’esprit et le corps, se pose désormais la question de savoir sur quels éléments doit porter cette attention pour qu’une réversibilité thérapeutique puisse s’effectuer ?
Elle doit porter sur le « message » précis envoyé par l’inconscient que la méthode SAUVIE permet de décrypter. Elle illumine, de ce fait, le parcours qui relie le stress à la maladie. Le « chemin des mots » par lequel l’inconscient est passé face au stress et dont la remontée en conscience fait alors écho. D’abord au sens acoustique du terme puisque ces mots sont entendus pour la deuxième fois ! Puis au sens vibratoire car l’identique fréquence des « mots retrouvés » nous fait entrer en résonance. Ce qui explique la sensation physique, l’onde fugace qui nous traverse jusqu’à parfois provoquer une émotion.
Autant de nouvelles connaissances scientifiques qui nous permettent de comprendre comment la méthode SAUVIE peut effectivement se révéler être un étonnant et formidable outil thérapeutique.
En témoignent les cinquante histoires contenues dans «Tu sais, la maladie ne vient pas par hasard ! » ou dans « quand j’ai compris ma maladie, elle est partie »